22/04/2009

La vieille dame d'en bas est une salope.

Mon voisin de pallier de gauche est un fou. Mais je l'aime.

Le problème, c'est que je loue et j'achète trop de films. Et parfois, ma sacoche (aussi grande soit-elle) ne peut réussir à contenir tout ces merveilleux objets cinématographiques. La solution à ses débordements est merveilleuse: mon voisin de pallier.

Je n'ai aucune idée dans quoi il travaille, mais il porte fièrement le complet cravate tous le jours. Il doit avoir le même horaire depuis 30 ans, il entre et sort à la même heure tous les jours, et je suis persuadé que, de tout l'immeuble, ce soit le seul qui connaissent par coeur le jour des vidanges et du recyclage pour l'année au complet. Le dimanche, il se permet des folleries (imaginons-tous le pire), il ne passent pas sa porte avant 23h. Il est pas très, très vieux, pas très, très grand. Un homme dans la 40taine assez average. Donc, ouvrir la porte et voir cet homme dans le cadrage, j'étais surprise.

Post-it rose flash:
À écrire sur le calendrier: Aujourd'hui, il a fucker son horaire pour cogner à ma porte.

- Nevers.

Pas comme dans jamais avec deux s. Non, non. Nevers, dit à la française. Comme dans Nevers, ville de France. J'ai pas compris tout de suite. Pendant un quart de seconde, j'étais terrifié. Pas de l'homme, pas vraiment de pas comprendre non plus. Plutôt parce que je suis une scénariste catastrophe dans ma tête, et que j'ai eu peur qu'il ne décroche plus jamais de son horaire parce que la seule fois ou il l'a fait, j'ai pas trouvée quoi dire. Ça sonnait comme une grosse responsabilité. Mais tel un seul homme, un vrai, il est venu à la rescousse de mon mutisme ébaubie. Il m'a tendu "Hiroshima, Mon amour" (fort possiblement tombé dans l'entrée hier soir quand je suis sortie) avec ses deux mains, poliment et a sourit, un petit sourire. Habituellement pas assez pour plisser les yeux, mais là, c'est pas juste. Ah! Okay! Nevers! Ah ben oui hein! Hahaha!

-Hiroshima!

Ça n'a pas pris un quart de seconde pour me trouver ben ben niaiseuse. J'aimerais pas qu'on m'appelle "Référendum raté" (On a les déboires historiques qu'on a) alors il ne doit pas triper qu'on l'appelle "Une bombe américaine qui explose la face de plusieurs de tes compatriotes". Mais il a rit. Alors j'ai rie pour faire passer mon malaise. Faut croire qu'il a aimé le film. Ou que je ne suis plus ce que j'étais pour reconnaître les visages asiatiques et qu'il n'est pas Japonais. Je ne le lui demanderai jamais. J'aime pas qu'on dise que je suis Canadienne, alors je comprend qu'un Chinois n'aime pas être pris pour un Japonais. Vice Versa. Mais il n'est pas coréen. À moins que...

C'est devenu notre lien d'amitié de voisin. Avec mon horaire fouareux et souvent non-respecté, j'ai parfois la chance de croiser l'homme-fou-toujours-à-l'-heure dans le couloir. Le temps que je trouve mes clés dans cette gigantesque sacoche sans fond, j'entends Hiroshima appellé Nevers comme on dit Bonne Soirée à ses voisins normaux et je trouve que c'est plutôt drôle.

Attention: Risques de paroles dans le vide.

Bon. Ça suffit. Je me botte le cul une fois pour toute et j'écris. Quel format ça prendra, de quoi ça parlera, pour qui, quel sera le message véhiculé, y'en aura-t-il un, je m'en fou. Il faut écrire. Parce que c'est tout ce que je sais faire, c'est donc ce que je fais le mieux. Je ne comprendrai jamais ce qui me bloque tant. Je ne sais pas ce qui me freine. Possible que ce soit simplment que je n'y crois pas. Je dois trouver un moyen de combattre les mots un peu. De les laisser dire ce que je veux dire. Trouver ce que je veux dire. Tout à déjà été écrit. Mais pourquoi est-ce qu'aucun livre ne dit ce que je veux entendre? Pourquoi je cherche toujours une histoire en particulier sans jamais la trouver? Si je dois faire le travail moi-même, je le ferai. Certains aimeront, d'autres détesteront. Si je dois haïr ces derniers pour le reste de ma vie, et bien je le ferai. C'est un prix à payer pour cesser d'avoir la tête remplie de phrases qui ne trouvent jamais de paragraphe ou se placer. Si j'ai à détester mes lecteurs, je le ferai. Mais moi, au moins, j'aurai fait ce que j'aime. Je vaincrai car j'écrirai.

Chapitre 1.

23/03/2009

Ça tombe sous le sens.



"J'ai plein de possibilités de choses à faire, de choses que je veux faire, mais je finis toujours par ne faire absolument rien. J'imagine que c'est pour rester fair avec toutes les choses que je devrais faire et dont je n'ai pas envie."

17/03/2009

Photosynthèse.


Mes nouveaux écouteurs qui semblent rendre toutes chansons beaucoup plus trépidante à écouter. :)

23/02/2009

Photosynthèse.



Cellulaire. Qui ne retentit pas beaucoup ces temps-ci.
;_;

Une petite balade dans les Andes?

Je suis très lâche. Toute personne lisant ses lignes sont au courant, je m'assume assez bien pour que se ne soit pas subtile. Alors je relis mes anciens Wordpad pour voir ce que je pourrais mettre ici. Et je suis tombé sur ça.

Ça, c'est un e-mail que j'ai envoyée à Stéphanie lorsqu'elle était à New York.

Ça, c'est aussi quelque chose de vrai, question de contrebalancer toutes les histoires et les nouvelles que j'invente tout le temps.


Il a plu pratiquement toute la journée aujourd'hui. J'ai regardée la température à New York et il semble que c'était pas non plus la propagande solaire. Ça doit être encore plus beau, la grande ville sous la pluie. Des milliers de gouttes d'eau pour les milliers d'habitants, ça tombe sous le sens.

J'ai écouter la fin du reportage sur les 30 ans du crash de l'avion dans les Andes. Celui où les survivants ont fait du cannibalisme pour survivre, tu vois de quoi je parle? Enfin, après quelque chose comme deux mois prient sur une montagne a gelé, ils ont finalement décidé qu'ils devaient faire quelque chose parce que personne ne viendrait les chercher. Deux d'entre eux ont marchés pour leurs survies à tous. Ils ont marchés pendant des jours pour finalement trouver un mec à cheval et ainsi sauver tout le monde. [Puissant l'homme à cheval hein?] Tout beau, tout bien, la fin parfaite.

Mais, c'est con, je me suis surprise à me dire que nous deux, avoir fait partie des survivants d'un crash d'avion dans les Andes, on auraient définitivement été celles qui marchent pendant des jours pour se sauvés la vie. Parce que je sais qu'on est capables. Parce que l'ont est juste assez différentes pour se soutenir. Parce que ton déterminisme nous ferait avancer et parce que ma raison me dirait de te croire. On est plus fort quand on est pas seul. On les auraient tous sauvé nous par contre, pas juste 14. On aurait pas attendu deux mois avant de faire quelque chose.

-"Come'on! Une p'tite marche... Dans les Andes. C'est beau les Andes. Awaye!" *clin d'oeil, clin d'oeil*

Quelque chose dans le genre... Juste question de bien savouré le moment "fin du monde" parce que, franchement, quelle expérience de vie démoniaque! :) Ouaip... Saurait été bien. C'est tout à fait nous, non?

Miaow. :3 Un jour, j'ai l'impression que ça va m'arriver, une situation catastrophe. J'espère juste que j'vais pouvoir me rappeller toi pour pouvoir m'en sortir. Et ainsi raconté tout ça à mes petits-enfants. Ça et toutes les histoires extrordinaires qui me lie à toi. Un jour, quand je serai vraiment vieille, tu seras le personnage principale des légendes que je raconterai à mes petits.


J'ai remarquer que c'est souvent les personne qu'on aime le plus qu'y le savent le moins.


Je t'aime. ^^


L.

Un petit morceaux de souvenir.


Disons que je fais suite aux mots ci-bas.

J'ai plus ou moins envie de parler de mes déboires de Cégep mais un des textes que j'ai écrit pour le cours d'Arts, Lettres et Culture à refait surface hier. Honnêtement, je l'ai aimée ce prof-là. Je me souviens plus de son nom, mais quand même. Elle était toute petite, n'avait aucune autorité et aurait clairement du être prof de secondaire. Elle seule était apte à autoriser mes écrits tels qu'il sortaient de ma tête. Elle aimait bien ma manière étrange d'écrire. Et moi j'aime qu'on aime ma manière étrange d'écrire. On était faites pour s'entendre. Mais le ministère lui à tiré dans le pied, elle a du me demander d'être plus technique dans mes analyses. Elle m'a perdue avant même d'avoir fini sa phrase; je n'ai plus jamais écrit pour ce cours là. 34% je pense. Ou 24, je sais plus trop. Je ne suis plus sûr si je lui est donné ce devoir là ou non. Mais je ne me rappellait même pas d'avoir déjà vu un spectacle de danse contemporaine avant d'avoir relu ceci hier:

Je ne suis pas le meilleur public.

Débutons.

Petit détail inutile sur la salle: les rangés de bancs sont décalés, ce qui fait en sorte que ta tête, au lieu d'être caché par une autre tête (souvent plus volumineuse que la tienne, va savoir pourquoi), est entre deux épaules. Agréable stratagème qui profère une vision parfaite de la scène de l'endroit où j'étais assise. Est-ce que ça en valait vraiment la peine? Bof...

Je n'ai jamais eu l'intention de payer pour aller voir des gens s'entraîner dans un gym, alors je ne vois pas non plus pourquoi je payerai pour cinq gens qui font du stretching pendant une heure et quart sur de la musique qui tape autant sur les nerfs. Danse contemporaine, parfait. Moi ça ne m'émeut pas, ça ne me touche pas et j'ai surtout l'impression qu'on se fout de ma gueule. Ceci étant dit, je ne remets pas en cause leur talent. Je comprends que se doit être une minorité de gens qui sont capable d'en faire autant, que ça doit être très demandant et surtout que ces danseurs-là supportent leur musique soir après soir.

J'aimerais bien qu'on me ressorte le cliché sur l'art contemporain en me disant que je "n'ai pas compris"... Non, je n'ai pas l'impression de ne pas avoir compris. J'ai l'impression qu'il n'y avait rien à comprendre, nuance. Je n'ai pas l'impression non plus que les dits mouvements voulaient à tout prix me dire quelque chose... Joie et bonheur si vous arrivez à avoir l'imagination assez débridé pour imaginer une histoire quelconque dans des mouvements comme ça, mais franchement, je peux faire dire n'importe quoi à tous les mouvements possibles du corps humain. C'est dangereux de jouer avec les interprétations personnelles. Un signe de la main peut facilement passer d'un appel de guerre à une invitation à jouer du bamboula chez Gaston demain soir.

Autre détail: un peu d'injustice dans le port du nu vers le haut, non? C'est rare qu'une femme ôte délibérément son chandail parce qu'elle a chaud. On peut dire qu'on a des choses à cacher. Les hommes, non. Un stress de plus pour les demoiselles. Injuste, je trouve. Et franchement, habillé ou non, je ne vois pas ce que ça aurait changé.

On a volé un bout de ce qu'il y avait dans ma tête.


J'ai l'impression qu'on m'a volée. Mais bon, je suis un peu en retard. Durant mes défuntes années de secondaire, j'ai toujours reçus des bons mots de mes professeurs de français sur mes situations d'écriture. Ce qui me fesait toujours rire parce que techniquement je ne suivais pratiquement jamais les directives demandées. Si j'avais le malheur d'avoir une bonne idée de sujet, peut importe les restrictions, (si elles rentrent tant mieux, sinon, tant pis) je l'écrivais contre l'adversité. Sauf que toutes ces petites histoires, je les ai plus. Et c'est triste. Parce que, surtout en secondaire 4, j'étais fort inspirée. Beaucoup plus qu'aujourd'hui.


Je me rappelle de l'exercice où on devait choisir une des 5 photos au tableau et écrire le profil du personnage. Sans même me demander mon avis, mon professeur avait imprimé mon travail et elle s'en est servi en exemple dans la classe et l'a donné à ses collègues pour qu'ils fassent de même dans les leurs. J'aurais dû demander un salaire. Plusieurs profs ont fait ça avec mes travaux. Ça n'aurait pas payer mes études mais quand même.

Je me souviens de ma nouvelle littéraire sur le vieil homme et son violon, celle du petit prince des voleurs que je n'ai jamais plus finir et celle du compositeur qui a écrit le requiem de sa femme parce qu'il l'avait laissé mourir. Damn. J'aurais aimé ça pouvoir les relire. J'ai l'impression d'avoir gaspillée un brin d'inspiration pour rien. Je remercie (dans le vide mais quand même) mon professeure de secondaire 4 qui croyait assez en moi pour me faire participer à un concours littéraire. C'étais gentil, mais j'ai remis ça au lendemain jusqu'à après la date limite. Et un merci à Carolle deux "L" e, pour s'être rappellé mon talent de secondaire 2 quand je l'ai re-eu en 5 et de toujours avoir souvenir de ce talent déchu encore aujourd'hui.

Je reconnecte un peu plus tard.

22/02/2009

Au bon goût de banane. [Nouvelle.]


- Bonsoir à tous. Je m'appelle Louis-Thomas et comme si ça c'était pas déjà assez, j'ai un problème de consomation.
- Souhaitons la bienvenue à Louis-Thomas.
- Bienvenue Louis-Thomas!
- Vas-y mon Louis, on t'écoute...

- Bon. Je suis étrange. C'est un fait que j'apprends de plus en plus à accepter avec les années. J'ai plusieurs comportements bizarres, assez en fait pour ne plus être capable de disserner lesquels le sont et lesquels ne le sont pas. Récemment par contre, je me suis aperçu de quelque chose d'assez inquiétant...

J'ai tendance à goûter les médicaments qui ont une saveur. Si sur la bouteille il y a un dessin de fraises, de cerises ou une appellation claire du genre "goût de bananes", je dois goûter. C'est comme un devoir que mon inconscient crée pour vérifier si je me fais bullshiter. Et pour avoir testé plusieurs produits, sachez, chers consommateurs, que c'est clairement de la grosse bullshit commerciale. Fiez-vous pas à ça. Cependant, je rassure tout le monde, ce n'est pas comme si la manoeuvre était dangereuse. Les médicaments avec un goût artificiel sont souvent des sirops pour la toux, des pillules pour enfant, des pillules contre le reflux gastrique... Enfin bref, des médicaments inoffensifs en petite quantité. ...Et je les goûtent, je vide pas le pot.

Je trouve encore à ce jour complètement aberrant toute personne disant que les antibiotiques aux bananes goûtait dégueulasse. Moi, je fesais semblant d'être malade plus jeune pour en avoir et honnêtement ça me fesait vraiment chier quand je fakais pas la bonne maladie (parce que j'ai jamais réussi à faire le lien entre quelle maladie va avec les antiobiotiques aux bananes) et qu'on me donnait celui aux fraises. Je sais pas c'est quoi qui donne le goût de bananes mais si jamais c'est juste une grosse bassine de "goût de bananes" que le pharmacien versent à la louche dans les bouteilles, s'il-vous-plaît quelqu'un, laissez-moi en prendre une bonne grosse louche! Je suis raisonnable, je demande pas la cuve au complet, je veux juste deux, trois bonnes gorgées...

Je n'ai jamais vraiment eu d'effets secondaires envers mon pélerinage culinaire-médicale sauf une toute petite fois. Faut dire, je m'étais laissé emporter... J'ouvre le frigidaire et mon coloc a placé juste à côté de la pinte de lait un belle petite bouteille de NyQuil. C'est con parce que, des sirops, ça vient pratiquement toujours avec un goût, donc j'en est essayé pour la peine. Chaque fois, à chaque essaie de sirop aux goûts divers, je passe proche de le vomir. Mais malgré tout, chaque nouveau sirop qui entre dans ma vie, je le goûte. Si ce n'est pas pour la science, c'est au moins pour ma bonne conscience, celle du travail bien fait et fait jusqu'au bout.

Sauf que là, c'était différent. Sur la bouteille de NyQuil, en bas à gauche, y'avait le dessin de deux bleuets. Un en plus gros plan et l'autre un peu en retrait, à la gauche du premier. Je sais pas si c'était une édition deluxe ou si c'était en hommage à un quelconque saguenéen, (peut-être que sa face se retrouvait à droite sur la bouteille... J'ai pas vu, j'étais obnubilé par les deux petits fruits) mais j'en est jamais revu à cette saveur là. Je sort donc une cuillère, une grosse cuillère, ceux à soupe, les vrai de vrai cuillères à sirop (ceux que ma mère prenait pour écraser les tylenols que j'étais pas capable d'avaler quand j'étais jeune) et j'ai versé du petit liquide bleu épais dedans. Jusqu'au bord, assez pour que sa fasse convexe dessus. Je l'ai mise dans ma bouche avec ma face crispé de "je prends du sirop" déjà bien entamée pour me rendre compte que ça goutait pas si pire. Po piis po piis. On me bullshitait pas, ça goûtait vraiment le bleuet!
J'en est pris 3 autres cuillères pour fêter ça...

HEILLE! ÇA FESSE DU NYQUIL!!

J'imagine que ma consommation de médicaments en tout genre à finie par endurcir mon système immunitaire, parce que l'effet à prit du temps à arriver. Après mes 4 cuillérées, j'ai été rejoindre des chums qui vivent un peu plus loin sur ma rue. Ça allait bien. On arrêtait pas de me demander si ça allait, ce à quoi je répondais que oui, oui tout allait bien pourquoi?

- T'as l'air bizarre...
- Ah bon.

Plus la soirée avançait, plus j'avais l'impression d'aller bien. Quand je me suis aperçu que je comprenais de moins en moins la langue qu'on parlait dans la pièce et que j'avais l'air d'être plutôt fluide et habile en Dave Hilton, j'ai eu comme un déclic. Même que, j'ai commencé à angoisser.

-Eeeeh. Denis? J'sens pu mes jambes! DENIS?

J'me suis réveiller le surlendemain, mon nez pas bouché et sans mal de gorge. Good job NyQuil.










Je suis tu le seul à avoir le goût de frencher après avoir bouffer toute un tube d'Orajel?

06/02/2009

Où il est surtout question de bouffe grecque.


Il m'arrive souvent des envies de rectification de post, vous excuserez donc (ou non, ça m’est égale) les changments de décor de l'appart.

Ça c’était le premier point, poursuivons avec le deuxième, question de mélanger personne.


Les i grec sont important dans ma vie. Les deux qui ont trouvés logis dans mon prénom aime ce faire épeller à chaque occasions qui se présentent. Ainsi, lors de ma récente visite devant le comptoire de la pharmacienne, j’ai du épeller mon nom 5 fois, d’abord pour me faire appeller Lindsay (THE FUCK? Il est où le d? Et le s? J’ai rien nommé de ça moi. Et j’ai dit i grec. GREC! Comme Kostopoulos. (Parenthèse dans parenthèse: On devrait aller manger des spanakopitas ensemble mon Tom. J’ai deux i grec dans mon prénom, deux! Je suis illigible à la citoyenneté grecque avec ça, non? Je fais des gros efforts!)) et ensuite Linlay. (-_- Je vais changer de nom je pense… Evgeni, c’est po piis po piis ça.) Je comprends toujours pas l’automatisme du cerveau humain à écrire le dernier i en i grec mais de laisser le premier en i straight. idgi. Anyway, maudit beau débat dans le vide ça. C’était surtout un hommage pour souligné le dur combat des i Kostopoulos. Je songe me procurer des sticker “Bonjour! Mon nom est:” et de les porter en permanence. Ça fuck l’anonymat mais yy vont être content.